Effecteurs et Pathogenèse chez Leptosphaeria maculans

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L'équipe EPLM étudie le champignon pathogène Leptosphaeria maculans, responsable de la nécrose du collet du colza (Brassica napus). Nous développons des approches multidisciplinaires pour décrypter le dialogue moléculaire entre les partenaires de l'interaction, sa régulation, et son évolution moléculaire sous la pression de sélection exercée par les gènes de résistance. Ainsi, notre objectif est de proposer des stratégies durables pour le déploiement des résistances variétales, en étroite interaction avec les partenaires socio-economiques. Nous combinons des expertises en pathologie végétale, génétique des champignons, génomique et épigénétique, étude des communautés fongiques, et biologie moléculaire, ainsi que des collaborations complémentaires (génétique et sélection végétale, biochimie et biologie structurale). Nous avons établi le patho-système L. maculans/Brassica comme modèle pour l'étude des interactions plantes-champignons, conduisant à de nouveaux concepts tels que (i) le paradigme du génome à “deux vitesses”; (ii) les conséquences de la structure du génome sur l'expression des gènes codant des effecteurs et sur les mécanismes d'adaptation aux résistances des plantes; et (iii) l'émergence de mécanismes complexes pour échapper à la reconnaissance du champignon par le système de surveillance de la plante.

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Responsables d'équipe : Isabelle FUDAL, et Valérie LAVAL

dir-EPLM@inrae.fr

Dans ce dossier

Depuis le 1er septembre 2024, Salomé SOULÉ et Jessy GRAVELINE ont rejoint l'équipe EPLM.

02 juillet 2024

Campus Agro Paris-Saclay, 22 place de l'Agronomie, 91120 Palaiseau. Amphi C2.0.37 (Bâtiment C2, rez-de-chaussée)

Soutenance de thèse de Julie NOAH

En savoir plus

Julie NOAH a soutenu sa thèse intitulée « Identification des déterminants de l’adaptation de Leptosphaeria maculans à différentes espèces de Brassica » et réalisée sous la direction de Jessica SOYER, le Mardi 2 Juillet à 13h30.

Une étude publiée dans the New Phytologist, réalisée dans le cadre de la thèse de Colin Clairet, sous la direction de Jessica Soyer et d’Isabelle Fudal au sein de l’unité BIOGER, a permis de caractériser la façon dont était contrôlée l’expression des effecteurs d’un champignon phytopathogène au cours de l’infection de sa plante hôte.